SEZIONE QUADRANTI SOLARI | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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A' chaque heure on est blessé, à la dernière terrassé |
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Accepte les saisons de ton coeur |
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Ainsi passent nos jours |
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Ami, regarde l'heure |
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Après le travail le repos |
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Après l'heure fini, l'infini |
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Ayez pitié de nous, au moins vous, quietez nos ames |
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Bonne ou mauvaise, je marque l'heure, tant mieux qui rit, tant pis qui pleure |
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Cadran solaire et faux amis parlent tant que le soleil luit et se tassent quand il s'enfuit |
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Ce ne sont pas les évènements qui s'approchent ou s'éloignent, mais nous qui passons devant eux |
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Ce n'est pas, ô mortel, cette ombre-ci qui passe, sont vos ans, son vos jours qui ne font que passer. Tous les ans, tous les jours l'ombre passe et repasse, mais vos ans et vos jours passent sans repasser |
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Ce que tu vois est déjà passé |
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Celui qui dort la grasse matinée doit travailler l'après-dînée |
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C'est la richesse de son contenu qui fait la largeur du temps |
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Cest l'heure de boire |
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C'est toujours l'heure des amis |
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Cette vie mortelle qui plaît tant, fuit plus que l'ombre |
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Chers sont tous les moments, usez n'en prudemment |
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Comme la Phénix, je renais de mes cendres |
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Comme l'ombre qu'on voit ici suivre nos pas, ainsi passent nos jours, et nous n'y pensons pas |
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Comment du même pas peuvent-elles s'enfuir, heures dans la douleur, instants dans le plaisir |
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Donne moi le soleil, je te donnerai l'heure |
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Dans le sein des rochers, sur la terre, sur les ondes, dans les airs mêmes, l'homme trouve ses besoins, ses plaisirs que lui prodigue le Suprême |
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Du matin jusqu'au soir ma marche est reguliére, et sans crainte je vais à mon heure derniére |
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Elle passe et ne reviendra pas |
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Elles blessent toutes, la dernière tue |
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Employez bien l'heure présente |
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En regardant l'heure qui'il est pensez à al mort et tenez vous pret |
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En regardant l’heure qu’il est pense a la mort et tien toy pret |
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En regardant l’heure qu’il est pense à la mort et tiens toi prêt ne compte pas sur la premiere car tout depend de la derniere |
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En regardant l'heure qu'il est souriez à la vie |
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Enfant, étudie. Le temps passe |
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Faire bien et laisser dire |
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Femme, sois soumise à ton mari comme au soleil je le suis |
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Homme savant grandes affaires tu calcules, mais l'heure finale en vain tu la recule |
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Il est plus tard que vous le croyez/ à toute heure aimez et priez Dieu |
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Il n'est rien de plus précieux que le temps, puisque c'est le prix de l'éternité |
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Il n'y à qu'un âge où il est à propos de se marier, c'est quand on est amoureux. A' toute autre âge on est ou bien trop jeune ou bien trop vieux |
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Il peut bien se tromper le fer battant la cloche, moi, quand le soleil luit je ne me trompe pas |
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Immobile, je cours cependant |
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Jamais sans toi |
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Je decline vers l'éternité |
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Je décompose le temps; le temps qui détruit tout |
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Je marque les premieres heures de ton éternité |
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Je marche sans pieds et je parle sans langue |
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Je mésure les minutes, et Dieu te persecute |
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Je ne suis rien sans le soleil, mais quand il luit rien de pareil |
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Je ne te marqueroi que l'heure des beaux jours |
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Je passe mes heures à dire l'heure |
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Je peux satisfaire un curieux, mais jamais un paresseux |
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Je sers les hommes, servez Dieu |
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Je suis juste, soyez-le aussi |
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Je suis la mère du bel amour, de la crente, de la science et de l'espérance sainte |
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Je suis la mesure du temps; tel qu'on mesure on sera mesuré |
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Je tire tout mon prix de l'astre qui m'éclaire |
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Je vais et je viens chaque jour, et toi tu vas sans jamais de retour |
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La verge est de fer, ses coups ne sont que d'ombre |
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La vie est comme l'ombre insinsible en son cours, on la croit immobile, elle avance toujours |
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La vie est dans le mouvement |
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La vie passe comme l'hombre |
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La vie passe comme l'ombrage, prend garde à toi, sois sage |
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Laissez parler les autres de tempêtes et d'averses; moi, je ne marque que les heures ensoleillées |
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L’amour et la jeunesse/ c’est un simple passage/ comme le soleil et son ombrage |
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L'amour fait passer le temps |
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Le ciel est ma règle |
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Le ciel est règle |
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Le moindre nuage me trahit et le moindre souffle te detruit |
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Le plaisir les abrège |
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Le soleil brille pour tous |
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Le soleil est ma vie et l'ombre ma parole |
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Le soleil est seul, mais non pour un seul |
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Le soleil et l'ombre suivent nos jours pas à pas et quelque nuit sombre marquerait nôtre trepas |
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Le soleil luit pour tout le monde |
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Le soleil se lève pour tous |
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Le temps de cette vie n'est qu'un instant |
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Le temps est assez long pour quiconque en profite; qui travaille et qui pense en étend la limite |
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Le temps est court |
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Le temps fait comme l'eau des torrents/ il ne revient jamais |
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Le temps fuit |
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Le temps fuit de mes mains comme la sable au vent |
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Le temps mal employé ne revient plus |
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Le temps passe, l'heure de la mort s'approche, l'heure nos suit, nous tient de proche |
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Le temps passe mais l'éternité reste |
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Le temps presse, faisons le bien |
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Le temps qui tout devore devorera le temps |
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Le temps s'enfuit |
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Lente aux affligés, l'heure est rapide pour les gens heureux |
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Les jours s'écoulent comme l'ombre |
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Les temps du coeur, de l'amour et de l'amitié |
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Lever à six, dîner à dix, souper à six, coucher à dix, fait vivre l'homme dix fois dix |
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L’heure de la mort est pénible à la fuir resulte impossible |
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L'heure passe et comme l'ombre un jour il nous faudra quitter ce monde |
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L'homme dit ce qu'il sait, la femme dit ce qui plait |
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L'homme n'a point de port/ le temps n'a point de rives |
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L'ombre passe, la peine s'oublie, l'ouvre reste |
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L'ombre seule marque en silence sur le cadran les pas muets du temps |
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Ma petite ombre mésure ta vie |
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Ma première mesure finie une autre de bien près la suit, mais morteles, votre carrière fournie vous-voilà dans une longue nuit |
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Nos jours passent comme l'ombre |
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O temps! Suspends ton vol, respecte ma jeunesse |
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O voyageur de ce monde regard ta dernière heure |
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Ombre trompeuse qui fuit à mesure qu'elle s'approche |
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On ne voit bien qu’avec le coeur |
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Passent les jours et passent lers semaines, ni le temps passé ni les amours ne reviennent |
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Pourquoi la chercher, si l'est pour la perdre |
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Priez pur vous et pensez à vous: le plaisir de mourir sans peine/vaut bien la peine de vivre sans plaisir |
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Quand l'ombre a disparu, le cadran se repose |
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Qu'elles durent dans la joie, qu'elles volent dans la tristesse |
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Quelle sera ta dernière heure? |
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Qui fait le biem et le publie ne reçoit rien dans l'autre vie |
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Sans le soleil je ne suis rien et toi sans Dieu tu ne peux rien |
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Sans ta clarté et ta chaleur nous n'aurions ni heure ni fleur |
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Si le soleil fait défaut, nul ne me regarde |
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Si le soleil ne m'eclaire, je ne puis vous satisfaire |
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Si le soleil se tait, je me tais |
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Si sans soleil vous viendrez sans réponse vous vous en retournerez |
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Soleil tu es vie |
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Soumis à tes faveurs je vis de ta présence, mon inutilité provient de ton absence |
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Souviens-toi de vivre |
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Sur ton passage, en son langage, grave et sévère le cadran solaire te dit: "Pense-s-y…le temps s'enfuit" |
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Tel qui me croit nulle, qu'il regarde sa pendule |
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Tenez vous prets car le fils de l’homme viendra à l’heure que vous ne pensez pas |
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Toi qui me regardes, aie patience, sans le soleil point d'audience |
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Toujours avant |
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Toujours vite l'heure s'avance, de la retirer point d'espérance; la mort la suit et de nos jours sans pitié elle acheve le cours |
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Tous mes jours sont des adieux |
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Tout passe, et le meilleur de nous-mêmes n'est qu'un souvenir que le temps efface à son tour |
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Tout vient à point à qui sait attendre |
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Toutes blessent, la derniere tue |
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Toutes laissent leur trace au corps comme à l'esprit; toutes blessent, helas! la dernière guérit |
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Toutes sont égales, suels nos mérites les distinguent |
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Tu est toi-même le temps, tes sens sont ta pendule |
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Vers le couchant je m'incline et vers la mort tu chemine |
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Vous qui vivez dans ces demeures, etes-vous bien? Tenez-vous-y, et n'allez pas chercher midi à quatorze heures |
MOTTI
in francese